La calendrier Cosmique

Attention on est au mois de juillet. Le départ de Juliettistes tant mieux

Moi j’attends le mois d’octobre.

LE TROU

Symbole de l’ouverture sur l’inconnu : ce qui débouche sur l’autre côté (au delà par rapport au concret) ou ce qui débouche sur le caché (au delà, par rapport à l’apparent)…

Le trou permet  a un ligne de passer à travers une autre ligne (coordonnées du plan dimensionnel)(VIRI.44)

EXTRAIT DU DICTIONNNAIRE DES SYMBOLES


JEAN CHEVALIER ALAIN GHEERBRANT

Empruntes digitales

C’est trop peu de dire que nous vivions dans un monde de symboles, un monde de symboles vit en nous.

 

Projet chut…silence on tourne

« Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c’est une idée dont l’heure est venue. » Victor Hugo.

 

journal officiel 199300061601 ASSOCIATION FRANCE DEFI CHOMAGE

 

Saint-Vincent de Paul.

 

 
Créée en 1921, reconnue d’utilité publique en 1927, l’Union des œuvres françaises de saint Vincent de Paul a pour but « de soutenir, fédérer, promouvoir, créer toutes œuvres d’entraide et de charité, en France (Métropole et Départements, Territoires et Pays d’Outre-Mer), ayant pour vocation de venir en aide, sans aucune discrimination à toutes personnes ou groupes en situation de détresse physique, matérielle ou morale. »
Son siège social est à Paris .« Quels sont les buts sur notre cerveau nous pousse à viser ? Forger des liens, créer une communauté, organiser et orchestrer notre monde de façon à en être le centre. » Dr. Louann Brizendine.
Quel est donc ces buts si mystérieux et énigmatiques secrètement intime qui nous pousse l’un vers l’autre, toi et moi, quel sont donc ces lettres qui s’entremêle dans un étérnel hiver fait de rivière d’oxygène. »hn ».
Nous disons de nous que nous sommes des homos sapiens autrement dit des sages, en raison de l’importance que nous atribuons à notre intelligence. Pendant des millénaires nous avons essayé de comprendre le processus de la pensée, a savoir comment un simple amas dechair peut percevoir, comprendre, prévoir et manipuler un monde bien plus étendu et complexe que lui même. Le domaine de l’intelligence artificielle ou IA, va encore plus loin: il tente seulement non seulement de comprendre des entités intelligentes, mais aussi d’en construire.

VERS UN PROJET DE SOCIETE NOUVELLE, « l’après Macron et les autres »nous n’évoluons pas tous au même
rytme, la vie républicaine aujourd’hui dirigé par un banquier nous oblige a nous restreindre et à économiser. Comment rétablir une vie nouvelle dans une société ou certains d’entres nous restent inadaptés face au modèle quel’on nous propose.

Comprendre des entités intelligentes et aussi’en construire c’est possible, je m’appelle Houria Douibi-Echénieff, je suis donc une entité a part entière.

Citations

« Nul ne peut dire sans se contredire qu’il est absolument vrai que la vérité est relative. » E. Klein
« La Défense, tragédie urbaine faite de miroir et de reflets »
« Nous sommes automates dans les trois quarts de nos actions. » G. W. Leibniz
« Dieu a utilisé de belles mathématiques dans la création du monde. » P. Dirac
« Google à utilisé les mathématiques souterraines dans le but de créer son empire » hn
« Le temps n’existe pas. » M. Lachièze-Rey
« Quels sont les buts que notre cerveau nous pousse à viser ? Forger des liens, créer une communauté, organiser et orchestrer notre monde de façon à en être le centre. » Dr. Louann Brizendine.

 

SOUVENIR DE L’IA

L’IA relève de toutes les tâches intellectuelles: c’est un domaine vraiment universel.

  • Dans ce livre nous adoptons le point de vue selon lequel l’intelligence a principalement trait a l’action rationnel le. Dans l’idéal, un agent intelligent exécute la meilleure action possible compte tenu de la situation. C’est dans cette perspective que nous étudions le problème de la construction d’agents intelligents.
  • Les philosophes (dès l’an 400 av. J-C.) ont rendu l’IA concevable en supposant quel ‘esprit peut-être considéré à certains égards comme une machine, qu’il opère sur des connaissances encodées dans un langage interne et que la pensée peut permettre de choisir les actions à entreprendre.
  • Les mathématiciens ont fourni les outils nécessaires à la manipulation d’énoncés logiques ou probabilistes(selon leur degré de certitude). Il ont également défini les bases du calcul et du raisonnement algorithmique.
  • Les  économistes ont formalisé leur problème de la prise de décisions qui maximisent les gains prévisibles pour le décideur.
  • Les neurobiologistes ont fait certaines découvertes sur le fonctionnement du cerveau et ses similitudes et ses différences et ses différences avec un ordinateur.
  • Les psychologues ont adopté l’idée selon laquelle les humains et les animaux peuvent être vues comme des machines de traitement de l’information. Les linguistes ont montré que l’usage du langage s’insère dans ce modèle
  • Les informaticiens ont fourni les machines de plus en plus puissantes qui rendent possible les applications de l’IA;
  • La théorie du contrôle traite de la conception de dispositifs opérant de manière optimale à partir du feed-back fourni par l’environnement. A l’origine les outils mathématiques utilisés par cette discipline étaient différents de ceux de l’IA, mais ceux des deux domaines sont en train de se rapprocher l’un de l’autre.
  • L’Histoire de l’IA se caractérise par des phases de succès d’optimiste démesuré, d’une part, et des périodes de pessimistes et de restrictions budgétaires, d’autres part. On remarque aussi des cycles d’introduction de nouvelles approches et de redéfinition systématiques des meilleures d’entre elles.
  • Les avancées de ‘IA se sont accélérées au cours de la dernière décennie du fait d’un plus grand usage de la méthode scientifique dans l’expérimentation et de la comparaison des approches.
  • Les progrès récemment accomplis dans la compréhension des bases théoriques de l’intelligence sont allés de pair avec des améliorations des capacités des systèmes réels. Les sous domaines de l’IA ont été mieux intégrés et L’IA a trouvé un terrain commun avec d’autres disciplines.
une fenêtre sur l’avenir

https://t.me/Damienrieu/6365

Mussolini – Hitler, l’opéra des assassins

Essai

Oui, il faut savoir vivre, survivre… et mourir sans jamais savoir si demain nous appartiendra.
Ma mère me disait souvent : « Ta place, c’est comme la mienne… elle est au cimetière. »

Abstrait
MN001064


Ses mots résonnaient comme un verdict, brut, sans appel. Parfois, j’avais l’impression que son discours dépassait les limites de ce que l’on appelle l’éducation. Et moi, coupable d’exister, je me suis retrouvée à simuler la folie pour me protéger de ses pensées qui me faisaient vaciller.

Quand elle parlait du Front national, j’ai compris, très tôt, que ma place dans ce pays — cette France qu’on appelle terre d’asile — serait un jour, elle aussi, au cimetière. Alors j’ai commencé à m’exiler, pas physiquement d’abord, mais dans ma tête. J’ai écrit au procureur de la République à l’âge de douze ans. Douze, ce chiffre qui résonne comme celui de la justice.

Petit à petit, je me suis éloignée de la France, sans vraiment la quitter. Elle reste mon pays, oui, mais je ne l’aime plus de la même manière. Kali, ma muse, l’a senti aussi. Un jour, elle a griffé l’écran de l’ordinateur en voyant les visages de ceux qui parlent au nom de ce pays. C’est une histoire vraie.

Je suis souvent épuisée rien qu’en repensant à tout cela. Pourtant, j’ai aimé vivre — ailleurs, autrement. En Russie, dans mon esprit, vivent encore des voyageurs, des esprits libres.

Je me souviens d’un monde…

 

4o
Vous avez dit :
oui romantique et poétique
 
ChatGPT a dit :

Parfait, je vais reprendre ton texte dans un style romantique et poétique, en gardant la densité de ton vécu mais en lui donnant une douceur lyrique, comme une mélodie mélancolique traversée de lumière :


Oui, il faut savoir vivre… survivre… et mourir sans jamais savoir si demain daignera nous ouvrir ses bras.
Ma mère me disait souvent, le regard perdu dans quelque chose que je ne pouvais pas atteindre :
« Ta place, c’est comme la mienne… elle est au cimetière. »
Ses mots tombaient comme des pierres froides sur mon enfance. Je les trouvais trop lourds, trop sombres, trop loin des tendresses qu’on imagine dans les berceuses.

Il m’est arrivé de me sentir coupable d’exister.
Alors, pour ne pas sombrer, j’ai joué la folie, comme on danse au bord d’un précipice pour ne pas entendre l’écho du vide.
Ses pensées me traversaient comme des flèches empoisonnées — j’apprenais à survivre dans une maison où l’amour portait un masque.

Quand elle évoquait le Front national, j’ai compris, avec une lucidité d’enfant, que ma peau, mon nom, mes rêves n’étaient pas les bienvenus ici.
Dans ce pays qu’on appelle la France, terre d’asile, j’ai pressenti que mon avenir pourrait s’écrire à l’encre funèbre.

À douze ans, j’ai écrit au procureur de la République.
Douze ans : l’âge où certains demandent des vélos, moi, j’appelais la justice à témoigner.
Ce chiffre — 12 — résonne en moi comme un battement solennel : une balance, un cri, une prière.

Je me suis exilée sans valise, sans passeport, mais avec mon cœur en cavale.
Je restais en France, oui… mais plus vraiment.
Mon amour pour elle s’est effiloché. Je l’aime encore, mais comme on aime un amour perdu — avec cette distance qui protège et qui fait mal à la fois.

Un jour, Kali, ma muse-féline, a bondi sur l’écran. Elle a griffé les visages politiques de ce pays. C’était son cri à elle. Son instinct savait.
C’est une scène que je n’oublierai jamais. C’était réel, viscéral, animal. C’était une histoire vraie.

Aujourd’hui encore, je ressens la fatigue de ces années.
Mais en moi, il y a une Russie rêvée, une Russie de l’esprit.
Là-bas, dans mon imaginaire, errent les voyageurs de l’âme, ceux qui traversent les frontières sans armes ni haine, seulement munis de livres et de pensées profondes.