Kâli suite

Kali (en sanskrit काली (Kālī) ou कालिका (Kālikā)) est, dans l’hindouisme, la déesse de la préservation, de la transformation et de la destruction

1. C’est une forme terrifiante de Pārvatī représentant le pouvoir destructeur du temps

2. Son nom dérive du mot kāla, le temps en sanskrit, celui qui détruit toute chose. Celui qui la vénère est libéré de la peur de la destruction. Elle détruit le mal sous toutes ses formes et notamment les branches de l’ignorance (avidyā), comme la jalousie ou la passion.

Kali est considérée comme la force qui détruit les esprits mauvais et qui protège les dévots. Elle est la parèdre noire de Shiva qui lui, couvert de cendres, est blanc ; c’est sa shakti, le principe actif et extériorisé d’une divinité masculine. Elle était déjà présente dans les Vedas, comme étant une des sept langues de feu du dieu Agni (la même racine que le mot latin ignis). Elle est l’équivalent des déesses Durgâ et Châmundâ2.

Ramakrishna, pour qui Kali était la « Mère divine », parle du « jeu de Kali », qualifiant ses différentes manifestations.

Déesse de la Guerre
Kâli , la petite chatte noire qui a vécu avec moi si longtemps pendant douze années consécutives j’ai pris soin de toi puis une beau jour tu tu t’es éloignée de moi, kâli mon amour je t’aime encore ma douce amie ma pire ennemie. Qu ‘est tu devenue, tu me regarde avec tes yeux verts transparents lucide dans l’ombre, tu m’inspire encore et tu tu inspiras encore de nombreux voyageur comme moi. Tandis que je t’attends encore je projette dans l’espace de mon esprit ta magie ancienne de ton royaume;